Yoann, infirmier et étudiant en conduite de projet humanitaire

Ma mission consistait à apporter une aide à l’équipe du dispensaire de Glékopé composée d’une accoucheuse et d’un infirmier, pour la réalisation des différents soins (traitement du paludisme, des parasitoses, et des différentes infections) et également faire un état des lieux de la situation sanitaire et sociale en zone rurale.

Interview accordé à M. Yoann SMITH, infirmier de formation et étudiant à l’Iffeurope, le soir de son départ du Togo après 2 mois de mission…


Q : Bonjour Yoann. Infirmier de formation, vous êtes actuellement étudiant à l’Iffeurope et stagiaire bénévole de SOSVOL. Voulez-vous bien vous présentez aux internautes qui ne vous connaissent pas ?


Y: Bonjour, donc je m’appelle Yoann, je viens d’avoir mes 23 ans en Février, étant infirmier de formation, j’ai souhaité m’orienter dans le domaine de l’humanitaire et de la solidarité internationale. Dans le cadre de mes études, j’ai choisi de venir à la SOSVOL au Togo afin de vivre une vraie expérience de terrain dans le domaine de la santé.


Q : Dites-nous, comment avez-vous connu SOSVOL et en quoi a consisté réellement votre mission?


Y : J’ai donc connu la SOSVOL par l’intermédiaire d’un ancien bénévole de la SOSVOL, Timothée Deleplanque, qui est actuellement mon référent de suivi d’étude à l’Iffeurope, et qui m’a dit beaucoup de bien sur cette association.
Ma mission consistait à apporter une aide à l’équipe du dispensaire de Glékopé composée d’une accoucheuse et d’un infirmier, pour la réalisation des différents soins (traitement du paludisme, des parasitoses, et des différentes infections) et également faire un état des lieux de la situation sanitaire et sociale en zone rurale.


Q : Cela fait pratiquement deux mois que vous êtes au Togo. Est-ce qu’à ce jour les attentes et les objectifs fixés au départ sont atteints ? (Sur une échelle de 1 à 10, vous donnerez combien ?)


Y : Je pensais venir au début travailler dans un dispensaire (à Glékopé), et nous avons obtenu l’autorisation du directeur préfectorale de santé, avec l’aide du président de SOSVOL et de l’infirmier de Glékopé, pour que j’aille dans quatre autres dispensaires ainsi que dans un hôpital. Ayant un mémoire à préparer, cela me donne donc de la matière à exploiter.
Pour résumer, les objectifs fixés au départ sont plus qu’atteint, aussi bien dans le domaine professionnel que dans le domaine culturel. Donc pour la note je dirai 9 et demi, car on n’arrête jamais d’apprendre.


Q : Vous reprenez l’avion demain pour la France, quel est votre état d’esprit actuel ? S’il y aurait une bonne raison pour revenir au Togo, notamment à SOSVOL, que diriez-vous ? 


Y : Mon état d’esprit actuel est plus que positif, car je sors grandi de cette expérience, et si j’avais une bonne raison de revenir, ce serait avant tout pour revoir toutes les personnes avec lesquelles j’ai noué de bonnes relations à l’association comme au sein de la population locale.


Q : Il semble qu’à SOSVOL, vous êtes surnommé Manitowoé. Qu’est-ce qui se cache derrière ce pseudonyme ? (rire…) 


Y : (Ndlr : rire) Il faut demander cela à Ykaa (alias Pipo), car c’est lui qui m’a donné ce surnom.


Q : Nous vous remercions et profitons de l’occasion pour vous souhaiter d’ores et déjà un bon retour sous le ciel français. Un message particulier à l’endroit des internautes ?


Y : Merci, et pour les internautes, si vous êtes anciens bénévoles, je n’ai plus besoin de vous décrire la SOSVOL, et pour les futurs bénévoles, félicitations vous avez fait le bon choix !

N'hésitez pas à partager cet article

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

S'inscrire à notre Newsletter

* champs obligatoires
Copyright Humanité et Développement 2020
Site créé par PIKO PIKO
linkedin facebook pinterest youtube rss twitter instagram facebook-blank rss-blank linkedin-blank pinterest youtube twitter instagram preloader